10.10.06

comprenne qui pourra

que c'est mon japon qui est parti en fumée, qui s'est enfui au loin, jamais ne reviendra avant des années. que toujours trop attachée aux signes je les vois disparaitre et crains l'oubli.
plutôt s'intéresser aux votes et aux gouvernants, ces menteurs qui nous exploitent et nous volent, mais au final, comme dans les plus sombres époques d'une déprime sans nom, rien ne m'éveille plus.
s'attacher est une erreur, mais comment ne pas la commettre, quand on vit au milieu de la merde dans une ville sans présent ?

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